4/14/2011
La Question
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Charisse Servanez |
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Meursault se prépare pour sa propre mort, espérant que quand il la fera face il y aurait une foule de spectateurs en colère qui irait l'accueillir avec «des cris de haine ». A votre avis, qu'est-ce que Camus voulait dire par «des cris de haine »?
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the.sternberglur says:
Selon moi, «des cris de haine» qui lui attend sont une symbole du détachement entre Meursault et la société. Il y a l’hostilité entre les deux parce qu’ils ne comprennent pas les uns les autres. Un autre exemple de ceci est quand Meursault se rend compte que les gens dans la salle d’audience lui haine. Meursault est vraiment un étranger dans la société. Alors, il accepte sa mort comme tous les autre luttes dans sa vie, avec l’indiférence et l’humilité.
April 16, 2011 at 1:13 PM
Francesca Carella says:
A mon avis, «des cris de haine» sont des émotions que les gens de la société ont contre Meursault. Dans tout le roman il est très détache de la société et il ne appartient jamais. Il a ses propres vus sur la société et il choisit d’être si loin et si détache. Meursault ne comprend pas la société et la société ne comprend pas Meursault il y a des problèmes grave. Il la réalise quand les gens dans la salle d’audience ne lui donnent pas le temps pour parler et le déteste. Il lentement apprend à accepter lui-même et les problèmes qu’il doit faire face a dans la société.
April 16, 2011 at 8:58 PM
Hannan M. says:
Selon moi, le «des cris de haine", écrit par Camus tient une grande importance pour Meursault comme un personnage et aussi pour le roman dans son ensemble. Pendant le roman, la vie de Meursault et le voyage à l'épiphanie que le monde et la société ne se soucie pas et est absurde. Le «cris de haine » est les cris de la société et de l'univers contre Meursault parce qu'il n'est pas considéré comme un d’eux. Avant cette ligne et à pendant le roman Meursault avait quelques révélations qui ont montré que l'univers est insensible et indifférent à quelqu'un de sa nature indifférente. Les exemples et les références qu'il a faite à l'univers ne se souciant pas est résumée par le «cris de haine" qu'il se réunira à sa condamnation publique. Le «cris de haine" est la nature indifférente de l'univers a envers Meursault car de sa nature. Dans cette réalisation, il accepte son sort et sa mort. Sa mort inévitable et ces derniers mots représentent l'essence du message de Camus, sur l'existentialisme.
April 17, 2011 at 1:05 AM
Alexandra Adamo says:
L'existence peut être plus ou moins défini comme se faire remarquer ou de faire quelque chose qui distingue une personne de l'environnement. En cas de Meursault, il voulait être libre de l'espoir parce que l'espoir signifiait qu'il y avait une certaine déconnexion entre qui il doit atteindre pour être et qui il était réellement. Il voulait se fondre parfaitement dans son environnement et ne plus avoir à supporter le fardeau de prouver au reste du monde, il existait dans leur mandat. La dernière ligne - «Je n'avais qu'à souhaiter qu'il y ait une grande foule de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine», souligne le Meursault liberté dans la mort. Par la souffrance jugement final du monde, il se rend compte qu'il n'est plus tenu de se conformer à leurs normes. Il peut enfin exister dans son propre royaume et se comportent pas la voie qu'il doit «espoir» à atteindre, mais simplement la façon dont il voulait. En effet, avec son exécution, il n'a pas à rester debout toute la nuit en attendant le "aube" quand le monde va venir et l'emmener parce qu'il comprend maintenant qu'ils ne peuvent le libérer: personne n'a «le droit" de voler sa vie. Ainsi, les "cris de haine" serait la preuve qu'il n'existait pas dans l'acceptation par le monde, mais plutôt dans un monde de sa propre création.
April 17, 2011 at 12:29 PM
Deshawna Dookie says:
Selon moi Camus voulait dire avec le phrase, «des cris de haine» le mentalite que Meursault a de lui-meme. Meme si Meursault a un detachement flagrante de tout le monde pour tous le roman, il doit savoir qu’il semble comme un personne qui ne soucie pas de rien. Ca fait a prouve d’etre vraie avec tous les evenements qui se passe dans le roman quand il ne montre pas d’émotion. Il acceptait le fait que les gens ne lui aime pas a cause de son indifference, et depuis que ca c’est comment il est, il ne soucie pas. Les gens n’appréciaient pas personne qui ne peut pas donner quelques types d’influence sur les autres, si c’est positif ou negatif. Selon les gens dans societe, Meursault est pertinent et il ne peut pas faire rien de leur convaincu autrement. Par les choses que les gens ont apprennent autour lui, ils n’ont pas apprenent les choses positives, seulement negative et contestable, et ca faisaient leur de penser qu’il est un mauvaise personne. Ceci leur faisaient lui haine, et il sais ceci donc il acceptait ce fait et les vues que societe a pour lui.
April 17, 2011 at 8:39 PM
Joseph says:
Meursault à beaucoup souffert de son isolement dans sa cellule, pendant tout le temps qu’il a passé seule derrière les barreaux de la prison il ne pensait qu’à son exécution et le jour de sa mort. Même Marie, qui était la seule personne qui lui rendait visite, ne lui écrit plus. Tout était mêlé dans sa tête. La visite que l’aumônier lui a rendu, malgré son refus de le rencontrer l’a rendu furieux et il a réagit violemment et il l’a insulté. Il s’est senti libéré, Il s’est quand même calmé après son départ. Se calme lui a fait réalisé combien il est heureux. Meursault n’a pas peur de la mort, il se voit comme un acteur et il s’en fou carrément de l’opinion des autres et si mourir était son rôle tout ce qu’il espère, pour se sentir moins seul. C’est que son exécution se déroulera devant beaucoup de spectateurs. Voici une citation qui le prouve bien« J’ai senti que j’avais été heureux, et que je l’étais encore. Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul ».
April 17, 2011 at 8:54 PM
Alexandra Pullano says:
A mon avis avec « des cris de haine » Camus voulait signifier la déconnexion entre Meursault et le reste de la société. Pour la plupart du roman Meursault ne comprend pas les autres gens et les autres ne lui comprennent pas. Donc, ca doit reste le même avec le mort de Meursault pour symboliser l’indifférence de la philosophie d’existentialisme. La philosophie croit qu’il n’y a pas les moments exceptionnel dans la vie tout c’est irrationnel. Ainsi, Camus n’aurait pas Meursault voulant rédemption parce que c’est la croyance d’existentialisme d’accepter tout. Meursault sait que tout le monde le déteste donc au lieu d’essayer de changer la situation, il l’accepte et il l’embrasse. Camus veut dire qu’il est inutile d’essayer de changer votre vie, car tout est de toute façon aléatoire. Par conséquent, il veut nous donner le message que nous devons accepter les choses qui se produisent dans notre vie au lieu de constamment rechercher de plus. De plus, l’acception de Meursault que tout le monde le déteste signifie qu’il accepte aussi sa mort. Après le verdict Meursault a dit « je ne pouvais pas accepter cette certitude insolente » (Camus 167), donc a ce moment il n’avait pas accepté sa mort. Mais quand il se prépare pour sa propre mort, espérant que quand il la fera face il y aurait une foule de spectateurs en colère qui irait l’accueillir avec « des cris de haine » ça signifie que Meursault acceptait sa mort et « sa place dans la société.
April 17, 2011 at 9:26 PM
Lauren Del Rio says:
« Les cris de haine » représente le désir de Meursault pour la compagnie. Malgré son comportement soumis et ses attitudes absurdes à travers le roman, Meursault accepte enfin son rôle dans la société. Avant sa mort, il comprend qu'il est complètement seul et il l'effraie. Meursault s'immerge dans sa propre folie et désire « les cris de haine » parce qu'ils seront sa seule entreprise. Le désir de Meursault pour entendre « les cris de haine » est significatif parce que Meursault ne peut pas comprendre toujours la valeur d'amitié ou le sens d'amour. Meursault croit qu'il ne sera pas seul parce que « les cris de haine » l'accompagnera. Ceux-ci « les cris de haine » sont maladroitement juxtaposé par les relations de Meursault ratées. Camus utilise « les cris de haine » de conclure le développement de Meursault comme un personnage. Bien que le lecteur suppose que Meursault a atteint une compréhension humaine des valeurs de vie et les relations, Camus conclut ironiquement que Meursault a complété simplement un cercle. Selon moi, le caractère de Meursault a « changé » mais est toujours dans le même lieu. Je pense que le désir de Meursault pour être accompagné par « les cris de haine » révèle qu'il est véritablement incapable de vie bienveillante. Ainsi, je conclus que Meursault n'était pas prêt à mourir ; simplement je pense qu'il a été perdu dans son propre désordre de malentendus, d'erreurs, et de démenti.
April 17, 2011 at 10:57 PM
Melissa Morgado says:
Le point de ce chapitre est l'acceptation de la mort de Meursault, à travers de la théorie de l'absurde. L'objectif de Camus pour ce chapitre, et peut-être le livre entier, est de prouver que la vie est essentiellement sans signification et que tout fait dans la vie n'a pas de raison particulière, contrairement à la majorité des opinions de la société. Meursault illustre cette pensée modèle avec son indifférence envers tout, même lorsqu'il est placé dans une prison. Comme Meursault est une caractérisation de Camus, il est entendu que c'est la façon dont Camus se sent. Dans le dernier chapitre, enfin, Meursault accepte complètement sa mort et il se rend compte que c'est inévitable. Son manque de préoccupation au cours des procès et sa mort prouve que le processus de toute la législation n'a pas de sens, suivant les principes de l'absurde. Après sa caractérisation indifférente normale, Meursault a toujours été étranger à la société. En acceptant la mort comme inévitable et que la vie est dénuée de sens, Meursault a complètement devenu un étranger de la société, qui est ce qu'il cherche à devenir. En étant un étranger à la société, il n'est pas surprenant que sa mort sera causer la société de lui encourager avec la haine, parce que son opinion s'oppose à ce qui est "normal". Cependant, il veut la société pour encourager à lui avec la haine, car cela signifiera qu'il aura accompli sa tâche d'éloigner complètement lui-même de la société.
April 17, 2011 at 11:04 PM
Lauren Del Rio says:
« Les cris de haine » représente le désir de Meursault pour la compagnie. Malgré son comportement soumis et ses attitudes absurdes à travers le roman, Meursault accepte enfin son rôle dans la société. Avant sa mort, il comprend qu'il est complètement seul et il l'effraie. Meursault s'immerge dans sa propre folie et désire « les cris de haine » parce qu'ils seront sa seule entreprise. Le désir de Meursault pour entendre « les cris de haine » est significatif parce que Meursault ne peut pas comprendre toujours la valeur d'amitié ou le sens d'amour. Meursault croit qu'il ne sera pas seul parce que « les cris de haine » l'accompagnera. Ceux-ci « les cris de haine » sont maladroitement juxtaposé par les relations de Meursault ratées. Camus utilise « les cris de haine » de conclure le développement de Meursault comme un personnage. Bien que le lecteur suppose que Meursault a atteint une compréhension humaine des valeurs de vie et les relations, Camus conclut ironiquement que Meursault a complété simplement un cercle. Selon moi, le caractère de Meursault a « changé » mais est toujours dans le même lieu. Je pense que le désir de Meursault pour être accompagné par « les cris de haine » révèle qu'il est véritablement incapable de vie bienveillante. Ainsi, je conclus que Meursault n'était pas prêt à mourir ; simplement je pense qu'il a été perdu dans son propre désordre de malentendus, d'erreurs, et de démenti.
April 17, 2011 at 11:14 PM
Catherine Faiello says:
Camus voulait dire par « des cris de haine » sont vraiment philosophiques et approprie de histoire. On constamment tenter d'identifier ou de créer une structure rationnelle et un sens à leur vie. Les humaines veulent trouver l’ordre rationnelle où il n’y a existe pas. La société tente d’imposer les explantations pour les actions irrationnelles de Meursault. Dans le trial, la société représente la tentative de créer l’ordre. Les cris de haine sont un exemple d’absurdité et corruption de la société. Les autres ne comprends pas Meursault et ils lui détestent. Meursault réalise qu’il est vraiment indiffèrent d’univers dans lequel univers est indiffèrent de lui.
April 17, 2011 at 11:23 PM